phytothérapie

Bonsoir à tous,
Je vous écris ce soir car mon conjoint à un lymphome B à grandes cellules, très agressif situé dans la gorge. Il a commencé la chimio fin novembre à raison de 2 cures tous les 15 jours. Des migraines très douloureuses ont surgi suite à la ponction lombaire. La perte de cheveux et poils apparaît depuis 3 jours. Quant à la fatigue, elle s’installe un peu plus chaque jour.
Nous essayons de trouver des médecines douces afin de limiter les effets secondaires ainsi que les douleurs. J’emmène mon conjoint avant et après chaque chimio chez une masseuse énergéticienne. Son rôle est de redynamiser les cellules saines afin qu’elles puissent se défendre contre la chimio ainsi que les tissus brûlés par cette dernière. Elle finit par un massage relaxant des pieds à la tête afin qu’il puisse dormir sereinement quelques heures et se libérer de son anxiété, sa peur et sa tristesse.
En parallèle, mon conjoint a commencé un jeune thérapeutique. Il y a plusieurs mois, nous n’étions pas encore concernés par ce lymphome, nous avions regardé un documentaire sur Arte “le jeune thérapeutique et le cancer”. Nous avions été touchés par les témoignages et résultats de ce jeune : les effets secondaires de la chimio s’amenuisent ou sont quasiment inexistants. Aujourd’hui, avoir vu ce documentaire (que nous vous recommandons vivement) a permis à mon conjoint d’appréhender la maladie différemment. Nous nous sommes documentés, avons demandé conseil à des médecins (toutes spécialités confondues) et mon conjoint s’est lancé de ce fameux jeune. Il commence 2 jours avant la chimio, il boit beaucoup d’eau et de bouillon de légumes bio (il faut impérativement que les légumes soient sans pesticide), les légumes sont très peu cuits pour garder tous leurs apports nécessaire à combattre ce vilain mal, pas de sel, pas de sucre, pas de protéines animales, pas de gluten (la tumeur se nourrit de ces 4 derniers points). Son jeune se poursuit jusqu’à 48 heures après la chimio.
Maintenant, nous cherchons un phytothérapeute spécialisé en cancer afin de remplacer les anti-douleurs prescrit par le médecin par des plantes. Nous ne perdons pas de vue que la tumeur se nourrit de pesticide, produit chimique, sel, sucre, gluten, animaux élevés aux antibiotiques… La chimiothérapie est une dose maximale de différents produits chimiques et mon conjoint n’a pas l’intention d’arrêter le traitement mais d’en limiter les dégâts.
Si vous connaissez un phytothérapeute à Toulouse, nous sommes preneurs.
En attendant de vous lire, je vous souhaite à tous un bon rétablissement.